La Russie : une expérience à vivre

Étant donné l’immensité du pays, la Russie offre différentes destinations au choix. En Russie, le climat peut varier du froid polaire à la météo continentale européenne. Il suffit de bien choisir le bon moment de venir et la ville.
Le train reste le moyen de transport en commun le plus utilisé pour visiter le pays, mais d’autres sont aussi à essayer. Le Marchroutka est à mi-chemin entre le taxi et le minibus.
Le voyage serait incomplet sans un tour à Moscou pour la photo devant le Kremlin. Un petit passage à Saint-Pétersbourg devrait aussi figurer au programme. 70 musées attendent les visiteurs. 4e ville du pays, Ekaterinbourg reste une capitale culturelle à ne pas manquer.

Les formalités à respecter

Les touristes français doivent avoir un visa pour pouvoir fouler le sol russe. La demande peut se faire normalement ou en urgence. Dans les deux cas, un prestataire spécialiste des visas comme cette agence devrait pouvoir s’en occuper. Un séjour touristique en Russie doit durer moins de 30 jours. Les autres visas peuvent atteindre 3 mois ou plus. Le pays est très à cheval sur les formalités. Il faut une lettre d’invitation d’une famille russe ou un voucher émanant de l’hôtel qui accueille le touriste. Pour les autres types de voyage, les justificatifs sont à fournir à l’ambassade. Le consulat exige également une assurance voyage, des preuves de réservation et éventuellement un certificat de dépistage du VIH.

Le 1er contrôle incontournable : les pneus

Avant de partir sur les routes, vérifiez l’état de vos pneus. Notamment, contrôlez l’état des bandes de roulement pour savoir si les pneus sont oui ou non usés et s’il est temps pour vous de les changer. Ensuite, tâtez manuellement chaque centimètre de l’enveloppe de chacun des pneus afin de détecter d’éventuels dommages. Il faut aussi penser à vérifier la pression des pneus. Mais qui dit pneu, dit aussi parallélisme de la voiture. Pour ce dernier, il vaut mieux approcher un garage ou un mécanicien.

Le 2e contrôle fondamental : le système de freinage

Un système de freinage défaillant peut engendrer un accident ! Le premier élément à contrôler de toute urgence c’est le frein à main. Ensuite, les plaquettes doivent attirer votre attention, car vous pourrez être appelé à les changer avant votre départ. Une plaquette usée est extrêmement dangereuse ! N’oubliez pas de jeter un coup d’œil attentif sur le liquide de freins. Enfin, jetez votre attention sur les disques de frein (épaisseur, présence éventuelle de rayures…). Le contrôle des freins est beaucoup plus efficace si vous le confiez à un mécanicien.

3e contrôle : les éléments en rapport avec le moteur

Ce sera tout d’abord le filtre à air : il serait peut-être utile de le nettoyer. Ensuite, voyez le niveau de l’huile du moteur. Peut-être que la quantité d’huile est insuffisante. Il vaut mieux vous en rendre compte avant le départ. Le troisième élément qui doit faire l’objet de toute votre attention, c’est le liquide de refroidissement. Le quatrième élément c’est la batterie. Si votre batterie est défectueuse, tôt ou tard durant le trajet, vous ne pourrez plus démarrer votre voiture. Que vous soyez dans une voiture électrique ou une voiture à carburant classique, aucun démarrage n’est possible sans batterie. Si votre batterie n’est plus en bon état, vous avez deux solutions : vous la rechargez ou vous la remplacez.

Le contrôle des accessoires

Vérifiez le système de verrouillage des portes ainsi que les mécanismes d’ouverture et de fermeture des vitres. Voyez si la climatisation (gaz réfrigérant), et inversement le chauffage, fonctionne correctement. Contrôlez le clignotant ainsi que l’intégralité des phares et des feux de votre véhicule (feux de position, feux de route, feux de stop, feux de détresse et même les phares antibrouillards). N’omettez pas de vous assurer, au passage, que toutes les lumières fonctionnent à l’intérieur de la voiture. Les rétroviseurs nécessitent également votre attention, ainsi que les éventuelles assistances automatiques à la marche arrière. Vos vérifications doivent en outre porter sur les essuie-glaces. Toujours au niveau du pare-brise, assurez-vous que le liquide du lave-glace est suffisant. Enfin, veillez à ce que le poids de vos bagages ne dépasse pas le Poids Total Autorisé en Charge.

Visa Schengen c’est quoi ?

Pour commencer, il convient de définir ce qu’est l’espace Schengen : il est constitué par 22 Etats appartenant à l’UE (Union Européenne) et quatre de l’AELE (Association Européenne de Libre-échange). Une grande majorité des pays européens font partie de cet espace Schengen notamment France, Allemagne, Grèce, Finlande, Belgique, Pologne, Espagne, Danemark, Italie, etc. On relève cependant l’absence du Royaume-Uni, l’Irlande ou la Croatie. Les pays, en dehors de l’UE, qui se trouve dans la zone sont la Suisse, le Norvège, l’Islande et le Lichtenstein. Tous les états de la zone Schengen ont établi un accord autorisant une libre circulation des individus au sein de la zone Schengen.
L’accord date de 1985 et entre en vigueur quelques années plus tard, en 1995. Cette zone est ainsi considérée comme un seul pays où tous les pays membres adhèrent à la libre circulation. Un ressortissant européen qui circule dans l’UE ou l’AELE n’aura qu’à présenter une pièce d’identité lors des contrôles effectués parles autorités. Un ressortissant voyageant dans la zone Schengen, par contre, devra présenter son passeport. Le but du visa Schengen est de permettre aux ressortissants étrangers de circuler sans contrainte dans l’espace Schengen avec un seul et unique Visa : ce qui vient faciliter le contrôle au niveau des frontières mais exigeant une collaboration significative entre la police et la justice de chacun des Etats membres. Par exemple, une personne désirant passer un séjour à Paris avant de venir en Italie n’aura besoin que d’un visa unique pour son voyage. Ce type de visa est obligatoire pour plusieurs pays de l’Afrique, Amérique, Europe et Asie.

Autres informations sur le Visa Schengen

Il existe plusieurs types de Visa Schengen notamment :
• Visa de court séjour ou Visa C : celui qu’on nomme « visa Schengen » qui permet au voyageur de passer un séjour dans un ou plusieurs pays de l’espace Schengen sur une durée n’excédant pas les 90 jours. Vous pouvez le demander pour un séjour touristique ou un séjour professionnel. Ce visa répond aux besoins des personnes désirant exercer une activité rémunérée pendant leur séjour mais elles ont également besoin de demander une autorisation provisoire de travail. Visa valable pour une ou plusieurs entrées.
• VTA ou visa de transit aéroportuaire/ visa A, indispensable pour une escale dans la zone Schengen : validité d’une journée. Le voyageur ne peut cependant pas sortir de l’aéroport.
• Visa de Transit non aéroportuaire : comme le VTA mais le voyageur est autorisé à sortir de l’aéroport et pénètre dans l’espace Schengen pour rejoindre sa destination.
• VTL ou visa à validité territoriale limitée : vous pouvez accéder à quelques territoires de l’espace Schengen uniquement.
• Visa de court séjour pour un motif précis (concours à l’université) au sein de l’un des pays de l’espace Schengen. Si l’étudiant réussit, il devra demander une carte de séjour pour intégrer l’université.
Comment effectuer la demande de visa Schengen ? Le formulaire de demande est à télécharger en ligne, remplissage manuscrit ou numérique. Le demandeur doit signer cette formalité aux endroits définis. Si certaines colonnes ne vous concernent pas, vous ne devez pas les laisser vide : il faut mettre « NA », ce qui correspond à « pas de réponse ». Pour un mineur, le consentement écrit des parents est requis. La demande est à déposer à l’ambassade ou le consulat du pays de destination. Si multiples destinations de la zone Schengen, faire la demande auprès de l’ambassade ou le consulat du pays où la durée de séjour est plus longue. En l’absence de destination principale mais plusieurs destinations de la zone Schengen, faire la demande à l’ambassade ou le consulat du premier pays de votre itinéraire.

Ce qu’il faut faire pour voyager pendant l’arrêt maladie

Le médecin traitant ou celui de la mutuelle d’entreprise décide de donner un arrêt maladie en fonction de l’auscultation. Ce professionnel de la santé estime que son patient devrait se reposer, il faudra suivre les consignes à la lettre. S’il écrit repos absolu, alors ce sera indispensable. Prêtez attention s’il impose des heures de sorties autorisées. Sachez aussi que l’employeur peut aussi demander un contrôle médical pour vérifier son incapacité à travailler. Sur demande de l’employeur, cette vérification médicale se fera inopinément.

Négocier la date pour sortir gagnant de la situation

Dans le cas où l’arrêt maladie couvre la totalité du droit au congé, le mieux serait de négocier un report avec l’employeur. Ce dernier pourra ainsi proposer une autre période en fonction de la disponibilité des autres employés, mais aussi selon l’organisation en interne. Pour l’arrêt maladie qui chevauche sans couvrir l’intégralité du congé annuel du salarié, le mieux serait de toujours partir en vacances. C’est la bonne décision à prendre si l’état de santé de l’employé le permet.