Au passage, si vous aimez dégoter des pépites locales avant de partir, le site autourdici.fr est une vraie mine d’or pour repérer les bonnes adresses et les spots authentiques. Très pratique pour éviter les attrape-touristes !

Lyon : la capitale incontestée de la gastronomie

On ne va pas tourner autour du pot : Lyon, c’est LE temple de la bouffe en France. Bocuse, les bouchons, les quenelles, le tablier de sapeur… Ça sent bon le terroir à chaque coin de rue. Perso, je pourrais m’enfiler une salade lyonnaise (bien chargée en lardons et croûtons, évidemment) à chaque repas sans jamais me lasser.

Et puis il y a les Halles Paul Bocuse, véritable paradis pour foodies. Attention au portefeuille, on a vite fait de craquer sur un saucisson brioché ou un Saint-Marcellin bien coulant. Vous êtes prévenus.

Bordeaux : le mariage parfait du vin et de la table

Bordeaux, on y va pour le vin, c’est sûr. Mais ce serait franchement dommage de s’arrêter là. Entre les cannelés caramélisés, les huîtres du bassin d’Arcachon et les restaurants étoilés, la ville propose une diversité assez dingue.

Petit conseil : testez le marché des Capucins le samedi matin. L’ambiance est vivante, les produits frais et les stands de street-food locale méritent vraiment qu’on s’y attarde.

Bayonne : la star basque des gourmands

Bon, je vais être honnête : j’ai pris une claque en mangeant là-bas. Jambon de Bayonne, piment d’Espelette, chocolat artisanal… Chaque bouchée a du caractère, comme la région d’ailleurs.

Et ne passez pas à côté du marché couvert et des petites épiceries planquées dans le centre historique. On y déniche des produits qu’on ne retrouve pas en grande surface, et c’est ça qu’on aime.

Dijon : au-delà de la moutarde

Oui, évidemment, la moutarde. Mais Dijon, c’est bien plus que ça. Les escargots de Bourgogne (même si ça ne plaît pas à tout le monde), le bœuf bourguignon, les œufs en meurette… Chaque plat sent bon la cuisine de grand-mère qui mijote pendant des heures.

En plus, le centre-ville est magnifique et se parcourt facilement à pied entre deux dégustations. Une balade digestive après un repas bien chargé, ça fait pas de mal.

Marseille : le goût du Sud en plein dans l’assiette

La bouillabaisse. Rien que ça. Mais pas uniquement. La cuisine marseillaise, c’est un mélange de saveurs méditerranéennes, de poissons ultra-frais et d’influences multiples. Les panisses, les pieds-paquets (oui, ça existe) et le pastis pour faire passer tout ça… On est bien.

Un conseil perso ? Allez manger sur le Vieux-Port en fin de journée, avec le coucher de soleil en fond. Même le plus blasé des touristes aura du mal à faire la fine bouche.

Strasbourg : l’Alsace dans toute sa générosité

Choucroute, baeckeoffe, flammekueche, kougelhopf… Vous voyez où je veux en venir. Strasbourg est un bonheur pour ceux qui aiment les plats riches et réconfortants. Et les marchés de Noël, évidemment, où le vin chaud coule à flots sous les guirlandes lumineuses.

J’ai encore le goût du pain d’épices artisanal en tête. Et si vous êtes amateur de bière artisanale, la scène locale est en pleine explosion depuis quelques années.

Toulouse : le Sud-Ouest version canard

Le cassoulet, bien sûr. Mais aussi le magret, le foie gras, les saucisses de Toulouse… Ici, le canard est roi et la générosité est de mise. Les marchés, comme celui de Victor Hugo, sont parfaits pour se faire un petit pique-nique gourmand (si vous survivez au premier stand).

Et après tout ça, un petit verre de Fronton ou un café en terrasse sur la place du Capitole, histoire de digérer en douceur. La vie est belle, non ?

Voilà. 7 villes, 7 ambiances, mais toujours cette même passion pour la bonne bouffe. Et vous, c’est laquelle votre préférée pour une escapade culinaire ?

1. Google Maps – Le grand classique qui sauve toujours

Bon, on commence simple. Mais honnêtement, Google Maps reste mon meilleur pote en voyage. Pour trouver ton hôtel à 23h dans une ruelle de Lisbonne ou repérer le resto planqué conseillé par un local à Rome, c’est juste parfait. Pense à télécharger les cartes en mode offline avant de partir, surtout si tu pars à l’étranger sans data illimitée. Je me suis retrouvé à Naples sans réseau, croyez-moi, le mode hors-ligne m’a sauvé la mise plus d’une fois.

2. Booking – Réserver sans se planter

Quand il s’agit de réserver les hébergements, j’utilise quasi tout le temps Booking. L’interface est claire, les filtres sont super pratiques (check le « annulation gratuite », ça peut sauver ton budget en cas de changement de programme), et tu peux voir très vite les avis récents, ce qui est toujours plus rassurant qu’une belle photo prise il y a 7 ans. Et le programme Genius file souvent des petits rabais sympas si tu voyages souvent.

3. Skyscanner – Trouver les vols sans y passer la journée

Perso, je déteste passer des heures à comparer les billets d’avion. Avec Skyscanner, c’est réglé en quelques minutes. Tu peux afficher les vols par prix, durée, horaires… et surtout repérer facilement les bonnes combinaisons avec les low-cost et les compagnies régulières. Leur option « Destination partout » est géniale si tu es du genre à partir sans idée précise. C’est comme ça que je me suis retrouvé à Sofia en mai dernier pour moins de 80€ aller-retour depuis Paris. Pas prévu, mais top.

4. Rome2Rio – L’appli qui connecte tout

Tu sais quand tu te demandes : « OK, mais une fois arrivé à l’aéroport, comment je rejoins mon hôtel ? » Rome2Rio répond à cette question en deux secondes. Bus, train, taxi, ferry… L’appli te sort toutes les options de transport possibles pour aller d’un point A à un point B, où que tu sois dans le monde. Ça m’a évité pas mal de prises de tête, notamment en Grèce où les horaires de ferry sont parfois… aléatoires, on va dire.

5. Google Translate – Ton meilleur allié improvisation

Bon, même si tu baragouines quelques mots d’italien ou d’espagnol, Google Translate reste ultra pratique. Le mode photo (tu scannes un menu ou un panneau) est franchement bluffant. À Séoul, je me suis retrouvé devant une carte de resto uniquement en coréen : sans l’appli, j’aurais probablement commandé au hasard des tripes fermentées. Là, j’ai pu viser le barbecue de porc, et franchement, c’était une réussite.

6. TripIt – Tout ton voyage dans ta poche

TripIt, c’est un peu le chef d’orchestre de tes réservations. Tu forwardes tes mails de confirmation (vol, hôtel, location de voiture…) et ça te crée un planning clair et centralisé. Plus besoin de fouiller ta boîte mail à chaque fois. Hyper pratique quand ton séjour s’enchaîne sur plusieurs villes et que tu veux garder une vue d’ensemble sans t’arracher les cheveux.

7. XE Currency – Ne plus se faire avoir sur les taux de change

Tu sais ce moment où tu essaies de convertir mentalement 230 000 dongs vietnamiens en euros ? XE Currency règle le problème. Les taux sont mis à jour en temps réel (ou en local si tu es hors-ligne), et tu sais tout de suite si le vendeur de souvenirs au marché te fait un prix honnête ou s’il te prend pour un touriste naïf. Petit conseil d’ami : garde toujours l’appli à jour avant de partir, certains taux bougent plus vite qu’on croit.

En résumé

Avec ces 7 applis bien installées sur ton téléphone, tu pars franchement plus zen. Moins de stress, plus de temps pour profiter. Bien sûr, chaque voyage est différent, mais ces outils m’ont déjà évité pas mal de galères. Et toi, tu utilises quoi comme appli quand tu pars ? Peut-être que je vais découvrir mon futur indispensable pour le prochain trip…

Avant de te balancer nos quartiers coup de cœur, un petit tuyau : si tu veux un bon point de départ pour comparer les hébergements, jette un œil à https://sete-hotel.com. Le site est super clair, et tu peux filtrer par prix, quartier, type de logement… hyper pratique quand t’as pas envie d’y passer des heures.

1. Le Quartier Haut : le vieux Sète à prix doux

On commence avec un classique : le Quartier Haut. C’est un peu le Montmartre local, en version méditerranéenne. Des ruelles qui montent, qui tournent, avec des murs un peu décrépis, du linge aux fenêtres et ce petit truc qui te donne l’impression d’être dans un film de Guédiguian.

Côté logement, y’a pas mal de studios à louer, souvent tenus par des locaux. C’est pas toujours ultra moderne, mais t’as du charme et surtout… des prix qui restent raisonnables, surtout hors saison. On a trouvé un appart à 55€ la nuit en septembre dernier, à deux pas de la place de l’Hospitalet. Pas mal, non ?

2. La Corniche : entre plage et tranquillité

Tu veux te réveiller avec les mouettes et sentir l’iode dès le café du matin ? Direction la Corniche. Ce quartier-là, il est un peu à l’écart du centre mais franchement agréable si tu viens pour chiller. Y’a une promenade en bord de mer, des petites criques où t’as quasi personne (hors juillet-août bien sûr) et des hébergements un peu planqués.

Le bon plan ici ? Les résidences de tourisme. Y’en a quelques-unes avec kitchenette, vue mer et parking inclus, à partir de 70€ la nuit. Et tu peux descendre à pied à la plage de la Crique de l’Anau. Elle est moins connue que la grande plage, et c’est tant mieux.

3. L’Île de Thau : ambiance populaire, tarifs légers

Alors là, on sort des sentiers battus. L’Île de Thau, c’est pas là où les touristes vont d’habitude, et c’est peut-être pour ça qu’on l’aime bien. C’est un quartier vivant, un peu brut, où tu croises des gamins qui jouent au foot entre deux barbecues. Ambiance vraie, loin des clichés de carte postale.

Côté logements, on parle plutôt d’apparts chez l’habitant, parfois un peu rustiques mais vraiment abordables. Idéal si tu veux te mêler aux locaux et pas juste faire des selfies sur la plage. Et puis t’es juste à côté de l’étang de Thau — parfait pour déguster des huîtres en direct de la cabane, sans la file d’attente.

4. Le centre-ville (hors zones hyper-touristiques)

Oui, dormir dans le centre, c’est possible sans se ruiner — mais faut être malin. Évite les rives immédiates du canal Royal ou la place Léon Blum (sauf si t’as gagné au loto), et vise plutôt les rues un peu derrière, vers la rue Garenne ou la rue Pascal.

Tu peux y dégoter des chambres d’hôtes ou petits hôtels de charme à des prix très corrects. Genre 60-80€ la nuit avec petit dej. Et là, t’as tout à portée de pied : marchés, restos, halles, gare… C’est un peu le compromis idéal si tu veux tout faire à pied.

Petites astuces bonus

• Réserve tôt si tu viens en été. Oui, c’est bateau comme conseil, mais Sète, c’est petit, et les bons plans partent vite.
• Pense aux logements hors Sète, genre à Frontignan ou Balaruc-les-Bains. À 10-15 min en train, t’as parfois des perles à prix mini.
• Check les marchés Facebook ou le bon vieux Le Bon Coin. Parfois, des proprios louent en direct sans passer par les plateformes classiques, et ça peut valoir le coup.

Alors, tu dors où ce soir ?

Sète, c’est pas que pour les budgets XXL. Si tu grattes un peu, que t’as pas peur de t’éloigner un chouïa du canal ou de troquer la vue mer pour une ambiance plus locale, tu peux vraiment te faire plaisir sans casser ta tirelire. Et toi, t’as déjà dormi dans un de ces coins ? T’as un plan secret à partager ? On est preneurs !

Les plats descriptifs du Brésil

Le plat national du Brésil est le Feijoada. Selon la tradition, il est consommé le samedi vers midi. La cuisson de cette recette est à base de haricots bouillis avec de la viande de bœuf fumée, des saucisses fumées, des oreilles, des queues, de la poitrine et des pieds de porc salé. Le tout est assaisonné aux oignons et à l’ail que l’on sauce à l’huile de palme. En accompagnement, le riz blanc est aspergé du jus de cuisson, de la farine de manioc, de quartiers d’orange et du chou vert cuit à la couve. Dans la liste des saveurs sucrées, la Brigadeiro est la plus connue. Le lait condensé sucré ou le leite condensado est la base de la recette. Bien sûr, pour identifier le Brésil, ce gâteau contient des ingrédients traditionnels des sucreries brésiliennes. Du côté de Salvador et de Parati, vous pouvez déguster les succulents Pé de Moleque que vous trouverez dans presque tous les stands de rue. Cette sucrerie est à base de caramel et de cacahuètes.

Les boissons typiques du Brésil

Au Brésil, boire de l’eau de robinet n’est pas recommandé, si vous devez acheter de l’eau cachetée en bouteille. Sachez que le Brésil est riche en eau de sources naturelles, donc buvez de l’eau naturellement saine. Le Guaraná em pó est une boisson sans alcool traditionnelle du Brésil. Elle est surtout bénéfique pour tonifier et booster l’énergie. Fourni à partir du fruit amazonien du Brésil, le Guaraná est le soda officiel de la nation. Pour les boissons alcoolisées, vous avez le cerveja, la bière nationale du Brésil. Elle est bien évidemment servie glacée, comme les Brésiliens le disent « gelada », vu le climat chaud du pays.

Voyager en Cambodge

Cambodge, c’est un endroit où les gens sont très bien accueillis. Les habitants y sont chaleureux et saluent leurs visiteurs avec un respect venant du cœur. Dans leur culture, il existe un geste qui s’appelle le Sampeah. C’est une salutation qui est aussi un symbole de prière qui se fait en joignant les deux mains.
Pour les endroits à visiter, il y a des temples emblématiques de la religion du pays. Ils sont magnifiques et grandioses à la fois, jusqu’à en couper le souffle. Le premier endroit où passer est bien évidemment la capitale, Phnom Penh. Pour voir des paysages ruraux et plus traditionnels, il faudra visiter les zones plus périphériques.

Voyager en Norvège

La Norvège est le pays où une ambiance de paix et de sérénité règne partout. Les paysages y sont extraordinaires et ne ressemblent à aucun autre endroit au monde. Malgré le coût de vie assez élevé, le voyage en vaut réellement la peine. Les amoureux du camping par exemple y trouveront leur bonheur. Cela s’explique par l’autorisation à faire du camping sauvage dans tous les endroits possibles autour du pays.
C’est aussi un paradis pour les gens qui aiment vagabonder dans la nature. Il est possible d’y pratiquer de la pêche en mer, mais aussi de la randonnée en montagne. De plus, il y a le Preikestolen qui offre une vue imprenable sur les fjords.

La Russie : une expérience à vivre

Étant donné l’immensité du pays, la Russie offre différentes destinations au choix. En Russie, le climat peut varier du froid polaire à la météo continentale européenne. Il suffit de bien choisir le bon moment de venir et la ville.
Le train reste le moyen de transport en commun le plus utilisé pour visiter le pays, mais d’autres sont aussi à essayer. Le Marchroutka est à mi-chemin entre le taxi et le minibus.
Le voyage serait incomplet sans un tour à Moscou pour la photo devant le Kremlin. Un petit passage à Saint-Pétersbourg devrait aussi figurer au programme. 70 musées attendent les visiteurs. 4e ville du pays, Ekaterinbourg reste une capitale culturelle à ne pas manquer.

Les formalités à respecter

Les touristes français doivent avoir un visa pour pouvoir fouler le sol russe. La demande peut se faire normalement ou en urgence. Dans les deux cas, un prestataire spécialiste des visas comme cette agence devrait pouvoir s’en occuper. Un séjour touristique en Russie doit durer moins de 30 jours. Les autres visas peuvent atteindre 3 mois ou plus. Le pays est très à cheval sur les formalités. Il faut une lettre d’invitation d’une famille russe ou un voucher émanant de l’hôtel qui accueille le touriste. Pour les autres types de voyage, les justificatifs sont à fournir à l’ambassade. Le consulat exige également une assurance voyage, des preuves de réservation et éventuellement un certificat de dépistage du VIH.

Vaporetto, bateau-taxi ou gondole ?

La grande partie de Venise est occupée par de l’eau. Ceci étant, les taxis, les véhicules de police ainsi que les ambulances ou autres services sont assurés par des bateaux. En effet, les vaporettos sont les modes de transports les plus utilisés à Venise. De plus, c’est plus charmant de parcourir le Grand Canal à bord d’un vaporetto que dans un bus ordinaire. Un ticket de 60 minutes coûte 7 euros. Pour vous rendre à la prochaine station, prévoyez seulement 4 euros. Pour des déplacements fréquents en vaporetto, optez pour le Venezia Unica City Pass. Les bateaux-taxis se destinent surtout aux touristes. Ce transport de luxe accueille un groupe ou plusieurs personnes, dont 10 maximum. Un ancien transport à Venise est la gondole. C’est une barque que le gondolier doit ramer pour faire découvrir la beauté de Venise aux touristes. C’était aussi le principal transport vénitien au XVIIIe siècle.

Traghetto, bus ou bateaux Alilaguna ?

Les traghettos sont de gondoles de taille XXL. Ils traversent le Grand Canal et parcourent les endroits où le pont n’existe pas. Ces grandes barques proposent de faire une jolie promenade à petits prix. Un trajet sur le canal coûte seulement 50 centimes. Ces transports ont pour but de rendre service aux travailleurs à Venise. Ils ne fonctionnent que quelques heures seulement pendant la journée. Pour visiter les endroits touristiques de Venise comme Mestre ou Lido, il est possible de prendre les bus. Rentable, ce moyen de déplacement dessert aussi l’aéroport de Marco Polo et la gare de Piazzale Roma. Toutefois, les bus et les taxis restent peu communs à Venise bien que le ticket coûte seulement 1,50 euro pour 75 minutes. La compagnie Alilaguna propose également des promenades en bateau pour rejoindre le centre-ville en partant de l’aéroport de Marco Polo. C’est aussi le transport idéal pour aller jusqu’au port de croisière et sur les îles comme Murano ou Torcello.

La Bretagne et ses campings au bord de mer

La côte bretonne figure en tête des destinations de vacances au bord de l’Atlantique. L’ouest de la France offre de nombreux avantages. Ses 1772 km de côte peuvent émerveiller grâce à leur diversité. Les plages de sable fin alternent avec les galets et les falaises spectaculaires. En suivant le littoral breton, vous pourrez découvrir le paysage côtier, mais aussi différentes villes. La côte d’Émeraude vous surprendra avec de belles stations balnéaires et des ports tels que Cancale et Saint-Malo. La découverte de la Baie du Mont-Saint-Michel devrait aussi figurer au programme. En longeant la côte, vous trouverez les Granites Roses. Sur des dizaines de kilomètres, vous pourrez observer un décor avec des pierres roses à perte de vue. Les alignements de Carnac ainsi que le Golfe du Morbihan font aussi partie des incontournables en Bretagne. La côte des Abers et ses fjords devraient aussi plaire aux vacanciers, à moins que vous ne préfériez la côte de Cornouaille et sa Pointe du Raz. L’île d’Ouessant et la rade de Brest méritent également le détour. Si vous venez avec des enfants, le parc zoologique et botanique de Branféré leur fera plaisir. Plus de 1200 animaux représentant la faune au niveau mondial sont à rencontrer sur place. Côté flore, des espèces rares poussent au parc de Branféré. Le bourg de Ploumanac’h est aussi à découvrir pendant votre escapade au bord de l’Atlantique. La ville de Perros-Guirec ainsi que la réserve naturelle des 7 îles continuent la liste des belles choses à voir sur la côte Atlantique. La visite des principales destinations en Bretagne se fait seul ou en compagnie d’un guide. Certains circuits proposent de découvrir la Bretagne en segway ou bien à vélo.
Pour trouver facilement le camping au bord de l’Atlantique qui vous convient, cliquez sur https://www.atlantique.camp/. Affinez vos recherches sur l’annuaire en précisant le nombre d’étoiles du camping, les services, les hébergements et la ville désirés.

La Vendée, une destination qui mérite votre attention

Pour ceux qui ne savent pas encore, la Vendée est un département dont le nom est tiré d’une plage éponyme. Cette partie du littoral atlantique se distingue par ses stations balnéaires. Les dunes de sable alternent avec les forêts. Les îles devraient aussi plaire aux vacanciers fans de navigation. Quoi qu’il en soit, la visite commence généralement par la plage. Le département de la Vendée dispose de 250 km de côte, dont plus de 140 km de plages de sable fin. Vos vacances peuvent être prévues aux Sables-d’Olonne ou à Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Les stations de Saint-Hilaire-de-Riez, de Saint-Jean-de-Monts et de Brétignolles méritent aussi votre attention. Les espaces dunaires sont aussi à voir. Lorsque les vagues et le vent offrent les conditions idéales pour les sports de glisse, le surf semble être une discipline facile à apprendre. En réalité, cette activité sportive demande beaucoup d’efforts. Il nécessite également une inscription dans un club. Ce dernier peut vous initier à d’autres disciplines, dont le kitesurf, le kayak de mer et la planche à voile. Les îles de Noirmoutier et d’Yeu sont aussi à visiter au moins une fois pendant votre séjour dans ce département de la côte Atlantique. Découvrez ainsi le château de la ville et son marais salant. Profitez de votre visite pour découvrir comment les sauniers parviennent à extraire le sel à partir de l’eau de mer. Pendant le passage à l’île d’Yeu, prenez en photo le dolmen des Petits Fradets. Enfin, pensez à assister au spectacle de nuit de la Cinéscénie du Puy du Fou.

Le 1er contrôle incontournable : les pneus

Avant de partir sur les routes, vérifiez l’état de vos pneus. Notamment, contrôlez l’état des bandes de roulement pour savoir si les pneus sont oui ou non usés et s’il est temps pour vous de les changer. Ensuite, tâtez manuellement chaque centimètre de l’enveloppe de chacun des pneus afin de détecter d’éventuels dommages. Il faut aussi penser à vérifier la pression des pneus. Mais qui dit pneu, dit aussi parallélisme de la voiture. Pour ce dernier, il vaut mieux approcher un garage ou un mécanicien.

Le 2e contrôle fondamental : le système de freinage

Un système de freinage défaillant peut engendrer un accident ! Le premier élément à contrôler de toute urgence c’est le frein à main. Ensuite, les plaquettes doivent attirer votre attention, car vous pourrez être appelé à les changer avant votre départ. Une plaquette usée est extrêmement dangereuse ! N’oubliez pas de jeter un coup d’œil attentif sur le liquide de freins. Enfin, jetez votre attention sur les disques de frein (épaisseur, présence éventuelle de rayures…). Le contrôle des freins est beaucoup plus efficace si vous le confiez à un mécanicien.

3e contrôle : les éléments en rapport avec le moteur

Ce sera tout d’abord le filtre à air : il serait peut-être utile de le nettoyer. Ensuite, voyez le niveau de l’huile du moteur. Peut-être que la quantité d’huile est insuffisante. Il vaut mieux vous en rendre compte avant le départ. Le troisième élément qui doit faire l’objet de toute votre attention, c’est le liquide de refroidissement. Le quatrième élément c’est la batterie. Si votre batterie est défectueuse, tôt ou tard durant le trajet, vous ne pourrez plus démarrer votre voiture. Que vous soyez dans une voiture électrique ou une voiture à carburant classique, aucun démarrage n’est possible sans batterie. Si votre batterie n’est plus en bon état, vous avez deux solutions : vous la rechargez ou vous la remplacez.

Le contrôle des accessoires

Vérifiez le système de verrouillage des portes ainsi que les mécanismes d’ouverture et de fermeture des vitres. Voyez si la climatisation (gaz réfrigérant), et inversement le chauffage, fonctionne correctement. Contrôlez le clignotant ainsi que l’intégralité des phares et des feux de votre véhicule (feux de position, feux de route, feux de stop, feux de détresse et même les phares antibrouillards). N’omettez pas de vous assurer, au passage, que toutes les lumières fonctionnent à l’intérieur de la voiture. Les rétroviseurs nécessitent également votre attention, ainsi que les éventuelles assistances automatiques à la marche arrière. Vos vérifications doivent en outre porter sur les essuie-glaces. Toujours au niveau du pare-brise, assurez-vous que le liquide du lave-glace est suffisant. Enfin, veillez à ce que le poids de vos bagages ne dépasse pas le Poids Total Autorisé en Charge.

Demander un visa

Si vous avez la mention « voyage non autorisé », il faudra revoir toutes les informations que vous avez entrées dans votre demande en ligne. Si elles ne contiennent pas d’erreur, alors, vous n’avez pas d’autre solution que de déposer une demande de visa au service de l’ambassade des États-Unis dans votre pays. C’est aussi valable si le statut de l’ESTA indique un refus d’entrée sur le sol américain. Dans les deux cas, il est inutile d’insister sur cette autorisation. Elle vous sera toujours refusée. Il est à noter que vous n’avez pas non plus le droit de savoir la ou les raisons pour lesquelles votre demande a été rejetée.

Qu’est-ce qu’un visa B2 ?

Au cas où l’ESTA vous a été refusée par les autorités américaines, vous devriez systématiquement vous tourner vers un visa de type B2. Ce dernier vous permet de réaliser votre voyage en Amérique en tant que touriste. Il est valable pendant 6 mois maximum. Prenez particulièrement attention à votre dossier, car ce type de visa est un peu compliqué. Les autorités sont strictes en matière d’immigration clandestine sur le territoire américain. Il faudra prouver votre intention de rentrer à la fin du séjour. Dans ce cas, accompagnez à votre demande certaines preuves qui vous lient à la France telles qu’un contrat de travail et pourquoi pas un titre de propriété.